AMERIQUES…

Une croisière en Amérique ? Mais quelle Amérique ? Car entre l’Alaska et Ushuaïa, c’est un sacré grand écart qui s’opère. Non seulement en terme de distances, mais aussi de centres d’intérêt, de saisonnalités, de densités d’itinéraires et naturellement de tarifs. A condition de mettre les Caraïbes à part, le continent sous ces aspects ne figure pas parmi les choix criants d’une première croisière. En revanche, c’est un mode de voyage qui, ici, présente bien des avantages. Ainsi le réseau routier plutôt pauvre en Alaska – Juneau la capitale, n’est accessible que par la mer ou les airs ! – rend le choix de la croisière indispensable. Tout autant, picorer l’Amérique du Sud sans avaler des heures d’avion épargne bien de la fatigue. Buenos Aires ou New-York, Boston ou Rio de Janeiro, Miami ou Montréal : on s’émerveille de combiner des siècles d’histoire, d’admirer des monuments aussi célèbres qu’hétérogènes, de […] Lire +

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Informations complementaires

Une croisière en Amérique ? Mais quelle Amérique ? Car entre l’Alaska et Ushuaïa, c’est un sacré grand écart qui s’opère. Non seulement en terme de distances, mais aussi de centres d’intérêt, de saisonnalités, de densités d’itinéraires et naturellement de tarifs. A condition de mettre les Caraïbes à part, le continent sous ces aspects ne figure pas parmi les choix criants d’une première croisière. En revanche, c’est un mode de voyage qui, ici, présente bien des avantages. Ainsi le réseau routier plutôt pauvre en Alaska – Juneau la capitale, n’est accessible que par la mer ou les airs ! – rend le choix de la croisière indispensable. Tout autant, picorer l’Amérique du Sud sans avaler des heures d’avion épargne bien de la fatigue. Buenos Aires ou New-York, Boston ou Rio de Janeiro, Miami ou Montréal : on s’émerveille de combiner des siècles d’histoire, d’admirer des monuments aussi célèbres qu’hétérogènes, de scruter une architecture des plus syncrétiques, de passer du bouillonnement d’une mégapole à la nonchalance d’une métropole. Juneau en été, Ushuaia en hiver. Boston à l’automne et Panama au printemps ! L’ensemble des itinéraires met clairement en exergue les atouts culturels des escales. Mais elles sont aussi parsemées de jolies respirations : villes gorgées de poumons de verdure, îles piquetées de réserves naturelles, fjords ici, montagnes là et une faune – baleines grises et orignaux, lions de mer et ours bruns – qui joue à cache-cache, se montre lorsqu’on ne s’y attend pas. Si certaines croisières affichent des tarifs plutôt doux, la moyenne est généralement élevée. Quitte à rentabiliser l’aérien (et digérer le décalage horaire !) un poste de dépense parfois conséquent, il peut alors être judicieux de privilégier les croisières de deux semaines.

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