Le QM2 délivre l’image fantasmée mais pourtant vraie de ce liner d’exception rénové en 2011. Tout le chic britannique pour 2620 passagers (1310 cabines dont 77,6% extérieures) avec un parfum de luxueuse croisière d’antan.
Côté restauration, un seul service (de 18h30 à 21h) et place assignée selon sa cabine aux Princess Grill, Queens Grill ou Britannia Club ; les passagers des cabines plus modestes sont placés au Britannia, avec 2 services fixes. De façon plus informelle, on grignote tout au long de la journée au Sir Samuel’s ou au Boardwalk Café, on goûte à la cuisine méditerranéenne du chef Todd English (avec supplément), on butine les buffets indiens chinois ou italien du Kings Court, on savoure le tea-time à la Queens Room. So british aussi le fish & ship du pub Golden Lion. Diversifiés aussi les salons et bar : la salle de cartes baigne dans une ambiance jazzy ou classique, le Churchill’s […] Lire +
L’expérience à faire sur le QM2 ? La Transatlantique pour plonger dans l’âge d’or des croisières. L’arrivée sur New-York à l’aube reste un moment inoubliable tout en émotion. Le Queen Mary 2 est un peu à la marine ce que le Concorde était à l’aviation. Etre un « Cunarder » c’est un peu appartenir à un club prestigieux.
Une croisière de de Charybde en Scylla sur le navire Queen Anne Bonjour, Nous avons vogué sur les flots à bord du navire Queen Anne de la compagnie Cunard du 25 mars au 27 avril 2025. Nous avons embarqué à Singapour et nous avons débarqué à Southampton. Nous sommes arrivés à quatorze heures trente au terminal de croisière de Singapour. Koh, une petite dame fluette, m’a invité à passer sous le portillon de contrôle. J’ai eu ensuite la désagréable surprise de voir la confiscation de la petite bouilloire électrique, présente dans ma valise cabine, qui m’accompagne depuis des années. Sa présence est interdite sur le Queen Anne. J’ai toujours emporté une bouilloire à température réglable dans ma valise lors des nombreux voyages que nous avons effectués sur les mers, dont le Queen Mary 2, un navire de la même compagnie. Cherchez l’erreur ! J’imagine que la sécurité, ce bouc émissaire de plus en plus invoqué, de plus en plus prégnant, explique cette privation pénalisante. La sécurité est devenue un prétexte pour justifier des restrictions qui, autrement, pourraient être considérées comme excessives. Habituellement, lors des croisières précédentes, après l’enregistrement, nous étions montés directement à bord du navire. Ce jour-là, que nenni ! Nous avons vécu une véritable épopée digne d’un roman kafkaïen. Imaginez-vous dans une mise en scène où la bureaucratie rencontre la technologie ubuesque, mais avec une touche de comédie absurde. Brenda, une ravissante jeune femme sud-africaine au sourire éclatant, qui revenait de vacances dans sa famille, nous a souhaité la bienvenue à la coupée. Dans notre cabine avec balcon, au pont neuf, qui se révéla exiguë, alors que les photos montrées sur le site de la Cunard avaient donné une impression d’espace, une surprise inouïe se matérialisa sous la forme d’une petite bouilloire électrique ; cherchez l’erreur ! En s’asseyant sur l’étroit canapé deux places, nous avons constaté que l’assise était affaissée, après environ un an d’utilisation !? Les cintres dans la penderie sont des cintres de « méfiance ». Les deux parties sont difficiles à assembler et il faut de la dextérité. Des problèmes de ventilation, provenant des gaines d’aération, nous ont surpris. De l’air froid sortait de la serrure de la porte de la salle de bain, également exiguë. L’intérieur des placards était froid et les vêtements à porter égalemen t. De manière inattendue, la coursive du pont neuf devient plus étroite. Il est difficile de se croiser. Il est inutile d’y songer quand les chariots des cabinistes, pour l’entretien des cabines, sont présents. Nous pensions vivre à bord d’un navire luxueux, digne des trois autres navires de la flotte, dont le Queen Mary 2 que nous utilisons régulièrement pour nous rendre à New York. Le dernier-né s’est montré décevant à bien des égards. La décoration était succincte, l’élégance absente et nos yeux furent privés de beauté. L’ambiance à bord était morose. L’atrium central, présent sur le Queen Mary 2, et sur tous les navires sur lesquels nous avons navigué, offrait aux regards de superbes atriums qui s’élançaient sur tous les ponts supérieurs. Le Queen Anne en est privé. Un « atrium » succinct, qui s’élève uniquement sur deux ponts, se trouve devant la réception. Et que dire du Queen’s Room… Samuel a dû se retourner dans sa tombe devant cet échec. Ouvert « à tous les vents climatisés », il a perdu sa prestance, aucun portrait de reines, aucune « intimité », le va-et-vient continuel des passagers alentour. Au lieu de bénéficier de son propre espace, le Queen’s Room s’est trouvé noyé dans les espaces publics. La « Promenade » sur le pont trois, étroite à bien des endroits, est obstruée à bâbord et à tribord par les canots de sauvetage. La boucle interdit l’accès à la poupe du navire. La possibilité de contempler les flots, allongé sur un transat en bois (ceux du navire sont en plastique), est également absente. Cette prestation sur le QM 2 était un rêve, sur le Queen Anne, la Promenade est un « cauchemar ». Pour pallier son étroitesse, des panneaux demandent d’effectuer les rotations dans un seul sens ! La liberté maîtrisée par un interdit ! Lors de nos différentes rotations, nous avons été étonnés de voir autant de rouille le long de la Promenade. Parfois, nous avons eu l’impression que le navire voguait depuis une vingtaine d’années. Les ponts en bois ont été remplacés par des matériaux modernes. La plupart des ponts du Queen Anne, contrairement à ceux du Queen Mary 2 qui comportent encore du bois véritable (notamment du teck), ne sont plus réalisés en bois massif mais utilisent des matériaux composites ou synthétiques modernes. Le navire a opté pour la connexion Starlink, un service d’accès à Internet par satellite développé par SpaceX, la société d’Elon Musk. Ce choix nous a pénalisés. L’accès à certains sites, utilisés habituellement, nous a été refusé. Nous avons été dans l’impossibilité de publier des photos sur notre blog de voyage à destination de nos familles et de nos amis. La connexion était lente et aléatoire, pour un tarif pour deux appareils d’un montant de 1425 $ pour la durée de notre croisière. Cette privation de liberté est inadmissible. Nous avons payé pour ce service, sans informations et mises en garde au préalable. Le théâtre nous a déçu. La disposition des rangées de sièges est inadaptée pour bien voir la scène. Les têtes de passagers dans le champ de vision cachaient partiellement la scène. Une disposition en « gradins » aurait évité ce genre de désagréments. Nous avons vu régulièrement des passagers changer de siège en cours de spectacle. Lors de l’escale à Cape Town, les officiers du navire ont continué l’usage du mensonge et de la manipulation, parfois avec un soupçon de peur pour couper court à toute contestation de la part des passagers, qui se comportaient souvent comme des moutons de Panurge. À diverses reprises, nous avons constaté des mensonges dans les messages transmis par haut-parleur, dans les cabines parfois, et dans les documents écrits. Une directive écrite nous a demandé de revenir au navire avant midi le jour de l’embarquement, le 11 avril, le second jour de l’escale, car les services d’immigration du terminal cessaient leur travail à midi. Nous avons écourté notre découverte du port, en renonçant à déjeuner en ville. Nous étions peu avant midi au terminal. Contre toute attente, Angex, l’agent de l’immigration qui nous a reçus, étonné de notre question, nous a informé que le service de l’immigration se terminait à 14 heures et non à midi. Ce mensonge à bord nous a pénalisés. Durant la croisière, parfois, nous avons eu l’impression d’être des figurants dans un mauvais film. Les officiers en prenaient à leur aise, nous mettaient devant le fait accompli. Par exemple, par quatre fois, le secteur de la piscine a été privatisé durant une période donnée. Par quatre fois, nous avons dû nous organiser autrement dans le déroulement de ces journées. L’annonce de la dernière privatisation était absente dans les écrits du journal de bord ! Pour nous rendre à la cantine, nous avons dû passer par les coursives du pont 8 inférieur. Ce fut le navire des contraintes. Quant au buffet au pont 9, que nous nommons « cantine », il fut synonyme de désillusion. La possibilité de se servir soi-même, comme dans tous les navires sur lesquels nous avons vogué à ce jour, était inexistante. Les plats étaient servis par les membres de l’équipage. La file d’attente, devant chaque îlot de nourriture, fut contraignante. Le mot le plus entendu par les convives qui nous précédaient était : « more » (plus) pour exprimer une demande de quantité supérieure. À croire que les consignes à bord étaient « économie » et « rationnement ». Nous avons même vu une fois une employée refuser la demande « more » d’une passagère qui, déconcertée, est partie, contrariée, sans rien dire ! Avec près de trois mille passagers, le Queen Anne est plus dense que ses sister-ships (comme le Queen Mary 2 conçu pour près de deux mille sept cents voyageurs). Ce « surpeuplement » s’est ressenti dans les ratios service/passagers (2,45/1 contre 2,08/1 sur le QM2). Le personnel de la cantine était souvent visiblement débordé. Concernant les aliments, nous avons beaucoup à dire. La fraîcheur était parfois discutable. Pour la première fois dans nos voyages sur mer, des fruits en conserve ont remplacé les fruits mûrs : figues vertes, pêches, poires, clémentines, fruits rouges, etc. Les seuls fruits frais entrés dans mon champ de vision furent de la pastèque, du melon et du melon d’eau. Durant de cette croisière autour du monde, dans l’été austral, les fruits, en abondance, auraient pu entrer sur le navire ! Dans nombre de navires, lors des escales, des parfums de nourriture locale flottaient au buffet. Des mets nouveaux, des spécialités du pays, venaient surprendre nos papilles. Rien de cette sorte sur le Queen Anne ! Des aliments répétitifs dans une variété limitée. Les tranches de pain précoupées, toujours les mêmes, étaient assez souvent sèches. Les légumes, notamment les brocolis, les pommes de terre et le riz étaient rarement cuits… André & Patrick __________________ A cruise from Charybdis to Scylla on the ship Queen Anne Hello, We sailed on the waves aboard the Cunard liner Queen Anne from 25 March to 27 April 2025. We embarked in Singapore and disembarked in Southampton. We arrived at the Singapore cruise terminal at half past two in the afternoon. Koh, a petite, slender lady, invited me to pass through the security gate. I was then unpleasantly surprised to find that the small electric kettle, which had been in my cabin luggage and accompanied me for years, was confiscated. Its presence is prohibited on the Queen Anne. I have always brought an adjustable-temperature kettle in my luggage during the many voyages we have undertaken at sea, including on the Queen Mary 2, a ship from the same company. Spot the inconsistency! I imagine that safety, that increasingly invoked and pervasive scapegoat, explains this frustrating deprivation. Safety has become a pretext to justify restrictions that might otherwise be deemed excessive. Usually, during previous cruises, after check-in, we would board the ship directly. Not this time! We experienced a veritable odyssey worthy of a Kafkaesque novel. Picture a scene where bureaucracy meets absurd technology, with a touch of farcical comedy. Brenda, a charming young South African woman with a radiant smile, who had just returned from holiday with her family, welcomed us at the gangway. In our balcony cabin on deck nine, which turned out to be cramped despite the spacious impression given by the photos on Cunard’s website, an astonishing surprise materialised in the form of a small electric kettle; spot the inconsistency! Sitting on the narrow two-seater sofa, we noticed that the seat was sagging after just about a year of use!? The hangers in the wardrobe were “distrustful” hangers. The two parts were difficult to assemble and required dexterity. Ventilation issues from the air ducts caught us off guard. Cold air was coming out of the bathroom door lock, which was also cramped. The inside of the wardrobes was cold, as were the clothes to be worn. Unexpectedly, the corridor on deck nine became narrower. It was difficult to pass others. It was unthinkable when the cabin stewards’ trolleys, used for cabin maintenance, were present. We had expected to live aboard a luxurious ship, worthy of the other three ships in the fleet, including the Queen Mary 2, which we regularly use to travel to New York. The newest addition proved disappointing in many respects. The decor was sparse, elegance was absent, and our eyes were deprived of beauty. The atmosphere on board was dreary. The central atrium, present on the Queen Mary 2 and all the ships we have sailed on, offered splendid atriums soaring across all the upper decks. The Queen Anne lacks this. A cursory “atrium,” spanning only two decks, is located in front of the reception. And what about the Queen’s Room… Samuel must have turned in his grave at this failure. Open to “all air-conditioned breezes,” it lost its grandeur, with no portraits of queens, no “intimacy,” and the constant comings and goings of passengers around it. Instead of having its own space, the Queen’s Room was drowned in the public areas. The “Promenade” on deck three, narrow in many places, is obstructed on port and starboard by lifeboats. The loop prevents access to the stern of the ship. The chance to gaze at the waves, reclining on a wooden deckchair (those on the ship are plastic), is also absent. This feature on the QM2 was a dream; on the Queen Anne, the Promenade is a “nightmare.” To compensate for its narrowness, signs request that rotations be made in one direction only! Freedom curtailed by a prohibition! During our various walks, we were surprised to see so much rust along the Promenade. At times, we had the impression that the ship had been sailing for twenty years. The wooden decks have been replaced with modern materials. Most of the Queen Anne’s decks, unlike those of the Queen Mary 2, which still feature real wood (notably teak), are no longer made of solid wood but use modern composite or synthetic materials. The ship opted for Starlink, a satellite internet access service developed by SpaceX, Elon Musk’s company. This choice penalised us. Access to certain websites we usually use was denied. We were unable to post photos on our travel blog for our families and friends. The connection was slow and unreliable, at a cost of $1,425 for two devices for the duration of our cruise. This deprivation of freedom is unacceptable. We paid for this service without prior information or warnings. The theatre disappointed us. The arrangement of the rows of seats is unsuitable for a clear view of the stage. The heads of passengers in our field of vision partially obscured the stage. A tiered arrangement would have avoided such inconveniences. We regularly saw passengers changing seats during performances. During the stopover in Cape Town, the ship’s officers continued to use lies and manipulation, sometimes with a hint of fear to stifle any objections from passengers, who often behaved like sheep following Panurge. On several occasions, we noted lies in the messages broadcast over the loudspeakers, sometimes in the cabins, and in written documents. A written directive asked us to return to the ship before noon on the day of embarkation, 11 April, the second day of the stopover, as the immigration services at the terminal closed at noon. We cut short our exploration of the port, forgoing lunch in town. We were at the terminal shortly before noon. To our surprise, Angex, the immigration officer who received us, was astonished by our question and informed us that the immigration service closed at 2 p.m., not noon. This lie on board penalised us. During the cruise, at times, we felt like extras in a bad film. The officers did as they pleased, presenting us with faits accomplis. For example, on four occasions, the pool area was privatised for a certain period. On four occasions, we had to reorganise our days accordingly. The announcement of the last privatisation was absent from the daily programme! To reach the canteen, we had to pass through the corridors of lower deck eight. This was a ship of constraints. As for the buffet on deck nine, which we call the “canteen,” it was synonymous with disillusionment. The option to serve oneself, as on all the ships we have sailed on to date, was non-existent. Dishes were served by crew members. The queue in front of each food station was restrictive. The most frequently heard word from the guests ahead of us was “more” to request a larger portion. It seemed as though the instructions on board were “economy” and “rationing.” We even saw an employee refuse a guest’s “more” request, who, bewildered, left upset without saying a word! With nearly three thousand passengers, the Queen Anne is denser than its sister ships (like the Queen Mary 2, designed for around two thousand seven hundred passengers). This “overcrowding” was felt in the service-to-passenger ratios (2.45/1 compared to 2.08/1 on the QM2). The canteen staff were often visibly overwhelmed. Regarding the food, we have much to say. The freshness was sometimes questionable. For the first time in our sea voyages, canned fruits replaced ripe ones: green figs, peaches, pears, clementines, red fruits, etc. The only fresh fruits that caught my eye were watermelon, melon, and honeydew melon. During this world cruise in the southern summer, abundant fruits could have been brought on board! On many ships, during stopovers, the aromas of local cuisine wafted through the buffet. New dishes, local specialities, would surprise our taste buds. None of that on the Queen Anne! Repetitive food with limited variety. The pre-sliced bread, always the same, was often dry. The vegetables, particularly broccoli, potatoes, and rice, were rarely cooked properly… André & Patrick
C’est le printemps, nous embarquons à Cherbourg, destination New-York. Le soir, parés de nos plus beaux atours, nous faisons honneur au repas gastronomique proposé par le chef, dans l’ambiance raffinée du restaurant, rythmée par le balai des serveurs aux gants blancs, auréolés par la douce lumière des spots ‘art déco’, en compagnie de compatriotes que le hasard à placé à notre table et qui ne tarderont pas à rentrer dans notre cercle d’amis.
printemps 2014, embarquement Cherbourg à destination de New-York. Sur le Britannia, la perfection est poussée à l’extrême : Dès que vous quittez votre cabine, la personne responsable de son entretien entre discrètement pour un ménage méticuleux en laissant pour toute signature, une rose délicatement posée sur votre oreiller. Inoubliable!
Nous partis au printemps à destination New York et nous avons embarqué à Cherbourg. Le matin sous la porte de votre cabine, un petit déroulé de votre journée est délicatement glissé : - Danse avec spécialité barre au sol ou yoga ou stretching - une immense salle de gym et de musculation ouverte non-stop de 7 heures du matin à 20 heures le soir - nombreux massages (en option) Plusieurs animations et conférences par jour (notamment une rencontre avec l’architecte naval dans un auditorium gigantesque nous explique dans un anglais parfais, l’évolution pour son choix des matériaux depuis le Titanic à ce paquebot transatlantique nommé le Queen Mary 2 Une magnifique bibliothèque toute en marqueterie (non inflammable) très british et de nombreux ouvrages sont à votre disposition au dernier étage avec une vue imprenable de cet océan. Frissons garantis ! Amphitrite
Le QM2 délivre l’image fantasmée mais pourtant vraie de ce liner d’exception rénové en 2011. Tout le chic britannique pour 2620 passagers (1310 cabines dont 77,6% extérieures) avec un parfum de luxueuse croisière d’antan.
Côté restauration, un seul service (de 18h30 à 21h) et place assignée selon sa cabine aux Princess Grill, Queens Grill ou Britannia Club ; les passagers des cabines plus modestes sont placés au Britannia, avec 2 services fixes. De façon plus informelle, on grignote tout au long de la journée au Sir Samuel’s ou au Boardwalk Café, on goûte à la cuisine méditerranéenne du chef Todd English (avec supplément), on butine les buffets indiens chinois ou italien du Kings Court, on savoure le tea-time à la Queens Room. So british aussi le fish & ship du pub Golden Lion. Diversifiés aussi les salons et bar : la salle de cartes baigne dans une ambiance jazzy ou classique, le Churchill’s fait assaut de grands spiritueux et la plus belle vue sur l’océan revient au Commodore Club. En journée, les activités s’enchaînent : salle de sports ouverte dès 6 h, partie de tennis, cours de yoga, Pilates ou Funk aerobic ; on progresse sur l’un des 51 parcours du simulateur de golf ou l’on s’affronte en tournoi de multiples jeux de palets traditionnels. Si les piscines ne sont pas très grandes, on en compte tout de même 5 ( et 8 jacuzzi) dont une réservée aux enfants et une sous un toit rétracatable. On peut assister à une conférence ou voir un film au Planetarium, emprunter l’un des 8000 ouvrages -certains en français – de la bibliothèque ou profiter d’un soin au spa. Le soir venu, place aux spectacles classiques au théâtre, Dj et orchestre live à la discothèque pour des classiques des années 60 à 80 à moins de ne céder à l’appel du casino.
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